INVITATION A UN CONCERT:  » The Messiah » de G.F. Haendel; un oratorio majestueux, rayonnant, coloré ..et tellement intimiste. – Le Guide des dons legs et donations
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INVITATION A UN CONCERT:  » The Messiah » de G.F. Haendel; un oratorio majestueux, rayonnant, coloré ..et tellement intimiste.

Les membres du « Kiwanis Club Wavre »
 vous invitent à leur concert
le samedi 5 décembre à 20h15

Programme :

« The Messiah » de G.F. Haendel

interprété par
Camerata Vocale et Instrumentale
Direction : Philippe De Clerck

Lieu :

Basilique Notre-Dame

de Basse-Wavre

Prix : VIP 35 € , 30 €, 20 €, Etudiant : 15 €

Lien pour réservation est: http://www.exolus.be/ticketonweb/order_0.php?event_id=118

 

Au profit des associations

« Wavre Solidarité » et « La Maison’Elle »

En mars 1743 lors de la création britannique du Messie, une cabale de dévots rejette l’ œuvre en s’ appuyant sur l’ idée que la fresque semble grandiloquente à certains, et trop éloignée du recueillement ou du demi-silence qu’ exigerait la vraie prière. La guerre des libelles va durer plusieurs mois, portant un tort considérable au succès de l’ oratorio. Haendel devra limiter à deux représentations les auditions du Messie en 1743 et n’ en donner aucune en 1744.

On sait, certes, que le roi lui-même s’ était levé lors de la première en entendant l’ explosion de joie de l’ Alleluia où l’ on chante, par exemple, For the Lord God omnipotent reigneth. Il donna ainsi naissance à la tradition britannique qui veut que la salle se lève à ce moment lors de chaque exécution en concert. Mais cet enthousiasme instinctif n’ avait pas suffi à assurer le succès.

Pour les Anglais, il y avait quelque chose de déroutant dans l’ œuvre de Haendel : une relative abondance de chœurs (vingt, pour cinquante-deux numéros au total) qui avait convaincu les Irlandais mais laissait les Britanniques pantois, sans aucune autre référence comparable dans le genre d’ oratorios sacrés qu’ ils avaient entendus jusqu’ alors et qui portaient la marque de la musique d’ outre-manche beaucoup plus que de l’ inspiration italienne.

Une certaine postérité devait aussi attribuer cet échec à l’ orchestration qui, à l’ origine, ne mettait en œuvre que les cordes, les trompettes et les timbales (Haendel n’ introduisit que plus tard les hautbois et les bassons).
Le succès de l’ œuvre ne fut effectif, à Londres, qu’ après 1750.

Solistes   :
Soprane :
Alto :

Ténor :

Basse :


Nadlada Thamtanakon  (Opéra de Gand)
Katarina Van Droogenbroeck (Chapelle Reine Elisabeth)

Teun Michiels (Conservatoire de Liège)

Shadi Torbey (Concours Reine Elisabeth 2004)

En savoir plus sur le concert